Tourné en Australie en 2019, MPC s’est associé à la production sur le plateau jusqu’à la post-production pour réaliser la vision post-apocalytptique du réalisateur Michael Matthews. En étroite collaboration avec le superviseur VFX Matt Solan, l’équipe MPC a livré 463 plans dans les studios d’Adélaïde et de Bangalore.

Matthews voulait créer une expérience post-apocalyptique facile d’accès qui plonge le public dans des interactions plus grandes que nature avec ces monstres géants, avec une bonne dose d’humour. La plupart des créatures présentées dans le film rendent hommage à des créateurs et à des amateurs de monstres, notamment Ridley Scott et Ray Harryhausen.

MPC a travaillé dur pour donner vie à neuf créatures géantes et complètes. Depuis les sculptures initiales jusqu’à la représentation, l’objectif était toujours de donner aux créatures des caractéristiques individuelles et des personnalités uniques. L’idée était que chaque créature, bonne ou mauvaise, ait une âme et une histoire qui influencent la manière dont elle interagit avec son environnement et avec notre héros et son fidèle compagnon canin.

Chaque créature a présenté des défis intéressants pour l’équipe de performance de MPC. L’une des séquences les plus difficiles était l’affrontement final où Joel et son fils affrontent une créature crustacée géante sur la plage et doivent rapidement trouver un moyen de se sauver et de sauver une colonie d’humains d’une mort imminente. Intégrer la performance d’un animal en chair et en os, aux côtés d’un acteur, dans une scène d’action rapide et riche en créatures (sur du sable) n’était pas seulement extrêmement difficile, mais aussi très amusant pour toute l’équipe de MPC.

Qu’il s’agisse d’effets spéciaux interactifs, de bave, de salive, de sang, d’eau, de sable ou de terre, l’équipe de MPC s’est salit les mains sur Love and Monsters.